j’ai recommencé à boire un verre
à la demi lune passée
l’écart face à la pulsion de damnation
j’ai griffonné ces traces de solitude
qu’un pan de mort oublie encore
la vie trame une voie plausible
s’éviter la glissade
avant qu’il ne soit trop tard
le vent effiloche ma chair de poule
et tombe les masques
quand vient le vouloir de l’autre
à la rencontre des corps
le temps n’a plus de conte à rendre,
mbur - brocauteur 05/24
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